Et si, sans le savoir, ce que vous appelez « se prendre en main » était en réalité… une autre forme de pression ?
Ce n’est pas toujours évident à nommer et surtout pas toujours conscient!
C’est discret, c’est pour être mieux, ça vient souvent de bonnes intentions :
« Je veux mieux manger »,
« Je veux prendre soin de moi »,
« Je veux retrouver mon énergie ».
Et pourtant, derrière ces intentions, se cache parfois une obsession invisible : celle de vouloir faire tout « comme il faut » pour être parfaite.
Être mieux, plus et parfaite pour être appréciée et aimée.
Moi aussi, j’y ai cru
Je me suis longtemps levée avec une liste dans la tête : « Il faut…»
- Boire mon eau tiède avec citron.
- Méditer chaque jour
- Préparer un déjeuner équilibré (sans oublier les protéines, pas trop de sucre et les gras oui ou non ?).
- Bouger au moins 30 minutes. et dans la bonne intensité!
- Planifier les repas, équilibrés.
- Ne surtout pas grignoter.
- Être patiente, rayonnante, présente…et gentille et positive!
Et quand je n’y arrivais pas ? Je me jugeais. Je me disais que je manquais de volonté. Que j’avais « mauvais caractère », « trop émotive » ou pas assez disciplinée.
Je croyais prendre soin de moi.
Mais en vérité, je me surveillais et me jugeais constamment.
La perfection : une pression qui se déguise bien
Aujourd’hui, après plus de 8 ans à accompagner des femmes à reprendre leur pouvoir sur leur santé, je le vois chaque semaine dans mes accompagnements.
Elles viennent vers moi avec des phrases comme :
« Je suis tannée de me sentir fatiguée. »
« J’aimerais retrouver mon énergie, mais je ne sais plus par où commencer. »
« Je sais ce que je devrais faire, mais je n’y arrive pas. »
Et en creusant un peu, on découvre que derrière cette fatigue se cache une autre réalité : Elles essaient trop fort.
Elles portent tout, tout le temps.
Elles n’ont jamais le droit d’échouer.
Et surtout… elles ont intériorisé que prendre soin de soi devait être une réussite de plus, à cocher, à « gérer ».
La perfection épuise. L’humanité guérit.
Ce que j’ai appris — pour moi et pour les femmes que j’accompagne — c’est que le corps ne répond pas à la performance. Il répond à la douceur, à la constance, à l’amour.
Les vraies transformations ne se passent pas dans l’effort constant.
Elles naissent dans ces moments :
- où on ose ralentir au lieu d’accélérer,
- où on accepte d’être fatiguée au lieu de se forcer à « fonctionner »
- où on fait un petit pas imparfait… mais choisi avec bienveillance.
Et c’est souvent là que les choses changent.
Et si on osait faire autrement ?
Et si on arrêtait de faire de notre bien-être un projet de performance ?
Et si au lieu de viser une routine parfaite, on apprenait à s’écouter ?
À s’accueillir dans le chaos, les variations hormonales, les petits épisodes plus émotifs, le « pas motivée aujourd’hui », dans le ce que l’on sent et ce que l’on ressent ?
Et si le vrai courage, ce n’était pas de réussir à tout faire parfaitement… mais de s’autoriser à être vraie ?
Une invitation à la réflexion
Je ne propose pas une recette magique, je sais que cette recette n’existe pas!
J’ai longtemps crue aux régimes, aux plans tout faits, et tant essayé d’atteindre la perfection.
Mais maintenant voici ce à quoi je crois. Je crois à:
Un corps qui me parle et demande une écoute.
Une vitalité qui revient quand on lâche prises sur le stress et la recherche de perfection.
Une femme qui se transforme quand elle cesse de se juger et commence à s’aimer.
Et vous, chères femmes qui lisez ces lignes…
Quand avez-vous commencé à croire que si vous deviez être parfaite pour allez mieux et que la perfection était une promesse de bonheur?
Et si, aujourd’hui, vous acceptiez de laisser tomber un peu de ce poids-là… pour respirer enfin et prendre le temps pour revenir à vous, la personne unique que vous êtes ?
Je vous invite à découvrir un ebook qui vous propose 7 micro-révolutions pour transformer votre santé sans régime, sans pression, et avec amour.