Tu sais, pendant longtemps, j’ai pensé que le sucre était mon problème.
Tu sais quand le sucre devient l’ennemi ! Et je ne suis pas la seule.
C’est souvent ce que j’entends dans mon bureau ou dans mes programmes :
« J’ai un problème avec le sucre. »
« Je n’ai aucune volonté. »
« Je suis accro… »
Mais est-ce vraiment le sucre le problème ? Ou est-ce notre relation avec lui qui s’est déséquilibrée
Quand le sucre devient l’ennemi…
Depuis des années, on a appris à diaboliser le sucre.
Il est accusé de tous les maux : prise de poids, inflammation, fatigue, dépendance… Et à juste titre, il y a un vrai problème de surconsommation.
En Amérique du Nord, la consommation moyenne de sucre a triplé en 50 ans.
Aujourd’hui, on parle d’environ 110 g de sucre par jour par personne – c’est plus de 20 cuillères à thé, alors que l’OMS recommande un maximum de 6 !
Ce n’est plus un petit plaisir occasionnel.
C’est devenu une présence constante, invisible, omniprésente dans notre alimentation moderne. Il se cache partout, même là où on ne s’y attend pas : dans les sauces, les vinaigrettes, les pains, les barres “santé”, les yogourts…
Alors, naturellement, on développe une forme de méfiance, voire de rejet :
on veut l’éliminer.
on veut “faire une détox”.
on veut se reprendre en main.
Mais ce réflexe peut devenir un piège.
Ce que peu de gens savent sur les glucides
J’entends souvent : « Moi, j’ai coupé les glucides. »
Mais… est-ce vraiment une bonne chose ?
En fait, les glucides ne sont pas l’ennemi.
Ils sont essentiels. C’est le carburant principal du corps et du cerveau.
Le cerveau, à lui seul, utilise environ 20 % de l’énergie de notre organisme… et cette énergie provient du glucose.
Ce qu’il faut apprendre, ce n’est pas à couper tous les glucides, mais plutôt à faire la distinction :
- entre le sucre naturel et le sucre raffiné
- entre un fruit frais et un biscuit industriel
- entre manger par besoin et manger par réflexe émotionnel
Ce qui se cache derrière nos envies de sucre…
Très souvent, on ne mange pas du sucre pour le plaisir gustatif.
On mange pour combler un vide.
On mange parce qu’on est :
- fatiguée
- stressée
- ennuyée
- triste
- seule
Ou tout simplement parce qu’on ne s’est pas assez nourrie dans la journée… et que notre corps, à bout de ressources, réclame un boost rapide.
Alors on grignote. On ouvre une barre. On boit un latte sucré. Et on recommence.
Mais est-ce vraiment de la faim ?
Ou un signal mal compris ?
Le cerveau et le sucre : une vraie connexion
Le sucre a un effet réel sur le cerveau. Il stimule la dopamine, ce neurotransmetteur du plaisir, de la motivation, du réconfort.
Ce n’est pas une faiblesse personnelle. C’est biologique.
C’est pourquoi plus on en mange, plus on en redemande.
Mais ce n’est pas une fatalité.
Apprendre à décoder, au lieu de contrôler
Je ne crois pas qu’il faille “couper” le sucre à tout prix.
Je crois qu’il faut apprendre à décoder la relation qu’on entretient avec lui.
Parce que dans cette relation, il y a souvent beaucoup de :
- culpabilité
- contrôle
- privation
- frustration
Et ça ne dure jamais longtemps.
Mais quand on prend le temps de comprendre ce que notre corps essaie de nous dire, on retrouve notre pouvoir.
Et petit à petit, la relation se transforme.
Quelques pistes pour commencer…
Par exemple :
Apprendre à lire les étiquettes :
Savais-tu que le sucre peut porter plus de 50 noms différents ? De “sirop de maïs” à “maltodextrine”, en passant par “jus de fruits concentré” — l’industrie joue avec les mots.
Lire les étiquettes, c’est reprendre le contrôle.
Observer les moments où tu manges sans faim :
Comme cette fin de journée, où tu t’écroules devant Netflix avec un sac de bouchées sucrées. Ce n’est pas un manque de volonté… c’est un signal. Un besoin de réconfort peut-être ? D’attention ? De pause ?
Nourrir ton corps avant qu’il réclame :
Beaucoup de femmes que j’accompagne ne mangent pas assez dans la journée. Résultat ? Elles finissent par craquer en fin de journée. Ce n’est pas un manque de discipline. C’est un besoin non comblé.
Faire de meilleurs choix sans frustration :
Parfois, remplacer une barre sucrée par un carré de chocolat noir avec des noix peut faire toute la différence. Ce n’est pas la privation qui guérit. C’est l’ajustement en conscience.
Rejoins le challenge gratuit : 5 jours pour décoder ta relation avec le sucre
Si tu veux reprendre le pouvoir doucement, sans régime, sans culpabilité…
Je t’ai préparé un challenge gratuit de 5 jours, pour t’aider à :
✔ Comprendre ton rapport au sucre
✔ Identifier les déclencheurs de tes envies
✔ Apprendre à mieux choisir (sans couper tout plaisir !)
✔ Retrouver ton énergie et ta liberté alimentaire
🟢 C’est simple, doux, bienveillant, et surtout, ça transforme.
➡ Inscris-toi ici et viens vivre ce cheminement avec moi. Le challenge a lieu du 29 septembre au 3 octobre 2025.
En terminant…Est-il possible de vivre une relation sereine avec le sucre ?
Vivre une relation sereine avec le sucre, c’est possible.
Pas en coupant tout. Pas en se battant.
Mais en écoutant, en apprenant, en ajustant.
Quand on comprend, c’est plus facile de faire des choix adaptés à nos besoins.
Et ça, c’est ce que j’appelle vivre sainement rebelle 🌿
À bientôt dans le challenge,